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Magazine Interviews Tony Malangone

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In Kürze :

Tony Malangone

Info: An der Italiahousemusic Party vom 1. März 2003 in Bieler Take 5 Club hatten wir die gelegendheit, uns mit Veranstalter und Dj Tony Malangone zu unterhalten..

Das Interview mit Tony Malangone wurde am 01.03.2003 gemacht, und wurde am 12.07.2003 durch sven publiziert.


Das Interview :

Sven: - Expliques-nous ce qui t’as motivé à commencer à organiser tes soirées Italiahousemusic il y a de cela environ 2 ans.

Tony: - Ce qui m’a motivé fut la passion pour la musique et l’envie de créer quelque chose qui n’existait pas encore, que je trouvais qui manquait dans la plupart des soirées où j’allais.

Sven : - L’atmosphère de fidélité du publique ?

Tony : - Exactement, oui. Parce que j’ai remarqué que dans la plupart des endroits ; je dirais que beaucoup de barrières sont misent, pour les gens. Et moi, ce que j’aime c’est que quand les gens viennent à mes soirées, se sentent à quelque part un peu à la maison.

Sven : - En effet, pour ceci ta réputation n’est plus à mettre en doute ! ;-)

Sven : - Avais-tu une passion spécifique pour le chois du style musical, la house ?

Tony : - Eh bien, à la base nous étions parti sur l’idée d’amener des DJs italiens. Mais, le problème est que nous avons remarqué que la popularité des DJs italiens n’est pas très forte ici. Alors, on garde le nom de l’organisation qui porte le nom « Italiahousemusic » mais allons amener des DJs que les gens connaissent.

Sven : - Quelle est ton attirance quand à la house ? Etait-ce ta passion ?

Tony : - Oui, c’est ma musique préférée. Dés les débuts ’90, c’était la musique que j’aime.

Sven : - Tu as commencé toi-même à mixer il y a environ un an et demi. De quelle manière est-ce venu ?

Tony : - C’est venu, comme l’organisation, par passion et je n’ai pas du tout envie de rentrer dans le milieu DJ. J’ai envie de me faire plaisir moi personnellement de temps en temps lors de mes propres soirées. Donc, quand est-ce que cela arrive ? – Une fois que je suis relaché, surtout vers la fin de soirée et bien… si l’envie me vient : je vais mixer. Et si l’envie ne me vient pas, il y a des gens payé pour cela.

Sven : - Une envie de mixer une soirée à l’étranger dans un club de grande taille ?

Tony : - Oui, disons que j’aime bien toutes les nouvelles aventures. Donc, c’est un honneur d’aller à l’étranger. Comme, un jours, organiser une soirée à l’étranger serrait un honneur.

Sven : - Au niveau des clubs. As-tu eu une préférence à commencer par organiser des soirées ici à Bienne ?

Tony : - Non, tout est venu par coïncidence et événements, en fait. On voulait faire notre première soirée avec des liens qu’on avait créer avec Victor Simonelli et Olivier, étant de Bienne, connaissait DJ Satino. Et, tout bêtement, on a commencé. Alors, ce fut la première soirée comme cela. Ensuite, nous cherchions un endroit pour la deuxième soirée, ce qui n’était vraiment pas facile cars nous étions vraiment inconnu du public. DJ Satino mixait aussi au NoJoke Club, alors on a essayer au NoJoke et la porte s’est ouverte là-bas, suite de quoi ce sont les autres clubs qui nous ont ouvert leurs portes.

Sven : - Avec des demandes pour organiser des soirées d’un peu partout. A quoi penses-tu que ton énorme succès soit lié ?

Tony : - Eh bien écoutes, des demandes on en a mais on est un produit qui coûtent quand même assez chère pour un club. Donc, ce qui arrive souvent que nous soyons trop chère pour des clubs de deuxième ou troisième catégorie. Et aujourd’hui ce qu’il faut dire est que la scène a bien baisser, donc investire des grosses sommes pour un club devient toujours de plus en plus difficile pour un club et nous ne travaillons qu’avec les clubs qui peuvent vraiment se les permettre malgré des demandes. Je tiens aussi à préciser qu’on donne l’exclusivité de un club par ville.

Sven : - Des projets pour la suisse allemande sont-ils en vue, dans un avenir proche ?

Tony : - Oui, bien sur. Etant donné qu’on a bien utiliser le marcher suisse romand, ce que nous aimerions faire serrait de mettre un peu plus les pieds en suisse alémanique. Premièrement pour se faire un peu plus connaître là-bas, et deuxièmement pour bouger un peu changer, pour tout, pour vivre de nouvelles aventures, pour mieux revenir en suisse romande aussi et nous extrader. Partout en suisse on aimerait que cela grandisse encore un peu.

Sven : - Tu as eu l’idée d’organiser des voyages en cars à destination de tes soirées, à partir de plusieurs villes en suisse romande. De quoi cela est-il venu ? Une demande du public ou une initiative Italiahousemusic ?

Tony : - Une initiative. Le problème est qu’à Genève, que moi étant de Genève, ai beaucoup d’amis et que dans le milieu House les gens bougent de moins en moins parce qu’ils ne veulent pas non-plus faire des kilomètres pour aller à une soirée, cela m’est venu de dire on va faire un cars et vivre une aventure à l’extérieur tous ensemble. Le concept à bien plus et les gens en redemande. Toutefois, je ne vais pas refaire cela chaque fois, cars cela demande beaucoup de travail. Mais, de temps en temps on va organiser des trajets en cars pour les soirées qui en valent vraiment la peine.

Sven : - Côté promotion ; comment t’y es-tu pris pour avoir une renommée aussi grande en si peu de temps ?

Tony : - Je pense que c’est plus du fait qu’on a enchaîné soirées sur soirées et c’est ce qui à fait monté le nom un peu plus haut. On a aligner des soirées toutes les deux semaines et la scène à commencer à en parler, surtout en suisse romande. Et cela demande aussi beaucoup de courage d’organiser des soirées dans des clubs où nous avons été ; je dirais par exemple : La Chaux-de-Fonds ou Payerne. Il ne faut pas avoir peur… Mais, nous l’avons fait ! Il faut aussi savoir jauger notre public.

Sven : - Un club concurrent te demande pour l’organisation d’une soirée ? Que leurs proposerais-tu ?

Tony : - Je te donne un exemple fragrant: ici à Bienne, il y a déjà trois clubs qui nous ont envoyé des demandes, que nous avons refusées. Comme je l’ai dis avant, en faisant notre tournée nous allons aller deux ou trois fois dans la ville, enfin cela dépend tout de même des régions mais en gros c’est ça. Donc, si en plus on change de club cela voudrait dire que nous allons aller une seule fois par année dans ce club là. De plus, je trouve que si un club nous fait confiance nous pouvons leurs donner l’exclusivité en échange. Le club ne veut pas qu’on aille ailleurs, et nous on a de très bons contacts avec le club et on ne veut pas les décevoir.

Sven : - Tu as organiser une soirée House & Trance sous le nom d’Italiahousemusic à Vevey. Qu’en était-il sorti ?

Tony : - J’ai tout de suite remarqué que cela n’était pas mon créneau, et je laisse ce créneau là aux gens professionnels de l’organisation de soirées. On ne peut pas tout faire en même temps.

Sven : - Au niveau du public; comment vois-tu les deux scènes qui sont totalement séparées l’une de l’autre ?

Tony : - Le publique trance est beaucoup plus fanatique que le publique house. Les gens du publique house ont une approche déjà bien plus commerciale. Les mecs de la trance sont passionnés, à mon avis. Je ne dit pas qu’il connaissent mieux les DJs, mais si l’on fait un bilan de tout les feedbacks que nous pouvons lire, on perçoit qu’il y a déjà beaucoup plus de feedback de la par des gens. Cela veut dire que les gens house, aussitôt que la soirée est finie reprennent leurs travail alors que les gens de la trance, après la soirée, y pensent encore mais aussi pensent déjà à la prochaine soirée.

Sven : - Que penserais-tu d’organiser une fois une Italiahousemusic dans un autre contexte que dans un club ?

Tony : - Non, je pense que pour nous les soirées en clubs sont la meilleurs solution cars elle nous évite déjà beaucoup de travail. On organise le line-up, la promotion et c’est à peut-près tout. Si maintenant on doit se soucier du lieu, de la sono, etc… on serrai trop débordé. Puisque nous avons la chance de les faire dans des clubs ; autant les faire dans des clubs, qui nous amènent déjà un publique!

Sven : - Tu as invité beaucoup de star étrangère, surtout lors de tes débuts. Ont-elles influencé le succès des soirées ?

Tony : - Oui, beaucoup. Les guests, même si le publique ne les connaissent pas, créent l’argument supplémentaire à la soirée parce qu’ils donnent une autorité supplémentaire et font parler de la soirée.

Sven : - Des projets pour cet été ? Peut-être une Lake-Parade, vu que tu es de Genève ?

Tony : - Avec la Lake-Parade, la problème est toujours le même : une présence y coûte très chère. Nous aimerions y aller, comme tout le monde, mais cela ne dépendra pas de nous… mais des partenaires. Si nous on avons : nous y seront, autrement non.

Sven : - Et une soirée de fin à la Lake-Parade plutôt qu’un char ?

Tony : - Non, nous avons assez de dates de soirées durant l’année. Si nous allons à la Lake Parade, ce sera avec un char. On laisse les soirées d’après la Lake Parade au professionnels.

Sven : - Quelle importance attaches-tu au côté web ? Pour Italiahousemusic, pour la promotion, pour tout en fait ?

Tony : - Pour nous, c’est notre vitrine. C’est à dire que sans site, on aurait l’impression de ne pas exister. Il ne s’agit pas uniquement du notre, mais également de tout les sites des partenaires. On a besoin d’eux pour tourner, sans eux : on existerait certainement pas aujourd’hui !

Sven : - Quel genre de promotion marche le mieux pour l’organisation d’une soirée House ? La promotion web, radio ?

Tony : - Plus que nous pouvons avoir ; mieux cela est pour la soirée. On ne néglige rien. Il n’y a pas de préférence. On ne laisse rien de côté, car même une personne peut être importante. On a besoin de tout le monde pour continuer l’aventure !

Sven : - Es-tu actif à 100%, à côté d’Italiahousemusic ?

Tony : - Non, pas à 100%. Je travail à 50% à côté.

Sven : - Comment l’équipe Italiahousemusic s’est-t’elle fondée ?

Tony : - Par passion et amitié. J’ai connu Olivier qui avait la même passion que moi, la même envie et la même folie aussi… et puis voilà, aujourd’hui on a trouvé nos repères ! Il aime bien animé ; c’est un peu notre bébé ! On vit l’aventure comme elle vient. A chaque soirée c’est une nouvelle aventure.

Sven : - Italiahousemusic attache beaucoup d’importance au côté web, surtout ce qui touche les photos. Comment vois-tu ceci ?

Tony : - « L’un amène l’autre ! ». C’est à dire que dans le site on a l’agenda, on met les « pix ». Lorsque les gens viennent voir les photos sur notre site, automatiquement ils voient les prochaines dates. Donc c’est l’un qui amène l’autre. Et si plus de monde va voir les photos, plus de monde est au courant que le site existe et de la prochaine date. On a quand même, je dirais, environ 150 visiteurs par jours ; ce qui est très bien pour un site d’organisateur. Je pense qu’on a même plus de visiteurs que certain clubs !

Sven : - Rien à redire ! ;-)

Tony : - Oui. De plus nous avons fait un nouveau site internet et ceci plait au gens !

Sven : - Quel est le ton veux que tu souhaiterais réaliser ? Que ce soie dans le djing ou en tan qu’organisateur.

Tony : - En fait, des vœux, on en a pas vraiment je dirais. On aimerait juste que l’aventure continue, et c’est un vœux qui me semble correcte et il est tout à fait raisonnable de dire cela dans l’époque dans laquelle nous vivons.

Sven : - Tes mots pour la fin ?

Tony : - Je tiens tout spécialement à remercier toutes les boites dans lesquelles nous avons fait nos soirées. C’est grave à elles que nous existons. Si elles ne nous avaient pas fait confiance, nous ne serrions pas ici aujourd’hui ! Si j’ai vraiment quelqu’un à remercier ; c’est eux ! Je les aimes tous !

Sven : - Merci pour l’interview.

Tony : - Merci à toi aussi..

Tony Malangone

Mr Oliver & Tony Malangone

Tony Malangone

Tony Malangone & Staff

Mr Oliver

Die Links dazu :

http://www.italiahousemusic.ch
http://www.take5.ch